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Faire une classe prépa était quelque chose que je redoutais énormément car cela impliquait beaucoup de rigueur, de persévérance mais le plus dur pour moi était d’être loin de ma famille et en dehors de mon pays.
Pourtant me voilà, après 2 ans au lycée Saint Benoît, très fier de mon parcours et cela grâce au corps enseignant qui a su nous inculquer toutes les notions qu’il fallait tout en instaurant une ambiance familiale dans les classes.
Chers professeurs, c’est donc du fond du cœur que je vous dis merci !
Cheikh SAMBE (en classe prépa de 2021 à 2023)
Ecole intégrée: Centrale Nantes
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Au vu de mon dossier scolaire collège/lycée la prépa paraissait comme une évidence. Le covid étant passé entre temps ça a été une autre histoire pendant 2 ans.
Est ce que je le referais ? Sûrement, mais autrement. La prépa, étant à plus petite échelle, m'a permis d'expérimenter plusieurs approches pédagogiques et aujourd'hui, en école je suis ravie de voir que ces 2 ans me sont bénéfiques.
Cependant, ça a été 2 ans compliqué physiquement et mentalement et je suis ravie que "l'esprit concours" n'y était pas tant présent donnant ainsi un environnement sain dans lequel évoluer.
Alors voici quelques conseils pour mieux appréhender ces 2 ans de prépa:
Pour résumer la prépa peu être compliqué mais à St Benoît tout est fait en sorte pour que ça se passe bien. Profitez du cadre qu'elle vous offre et restez motivé ça vaut le coup.
Manon Lardeux ( en classe prépa de 2021 à 2023)
Ecole intégrée: ESIEA
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Je suis arrivé dans la prépa Saint Benoît à la fin du processus de ParcourSup, ce n'était pas mon premier choix. Finalement, cette formation m'a convenu parfaitement. J'ai vite trouvé la motivation au sein du groupe. L'atmosphère d'entraide, la forte énergie commune entre les étudiants, les très bons professeurs, à notre écoute, m'ont permis d'être admissible à des concours tels que Centrale et Mines Ponts : je ne pensais pas pouvoir atteindre ce niveau en deux ans !
Nicolas AUGE( en classe prépa de 2021 à 2023)
Ecole intégrée : Les arts et métiers
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La prépa n’était pas un choix évident pour moi, étant donné qu’au Lycée je n’étais pas brillant en sciences, mais j’aimais vraiment ça et je voulais continuer de progresser dans ce domaine. J’ai aussi choisi prépa car je ne voulais pas m’engager trop vite en école, ne sachant pas vraiment ce que je voulais.
On m’avait décrit la prépa comme une période de travail intense et difficile. C’est partiellement vrai. La marche est certes haute mais on acquiert tellement de méthodes de travail et d’aisance que ça se simplifie au fil du temps (ou on y prend goût je ne sais pas). Toutefois content d'être arrivé au bout mais surtout fier de la progression que la prépa m’a offerte, comme à tous les étudiants de ma classe. On sent vraiment qu’on s’améliore et ça fait plaisir, d’autant plus à Saint-Benoît, une “petite” prépa, d’un très bon niveau en fait, qui permet de travailler sans concurrence entre les élèves et de se faire aider et suivre pour ne pas décrocher.
Vraiment une expérience à faire !
Vianney SORIN ( en classe prépa de 2021 à 2023)
Ecole intégrée: ENSMA Poitiers
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Ayant choisi en Terminale les spécialités Maths et Physique-Chimie je me destinais à faire une prépa MPSI. J'ai donc fais le stage pré-CPGE à Saint Benoît. Cela m'a permis de rencontrer des profs de prépa et de mieux prendre conscience des attentes de la prépa.
Pour moi, l'année de MPSI s'est très bien passée, et je me suis vu progresser très vite (grâce aux professeurs qui sont très attentifs). Le rythme de la prépa est soutenu et cela me plaisait!
En PSI, on ne se rend pas compte mais les concours arrivent très vite. Les professeurs étaient aussi très investis!
J'étais admissible à certaines écoles Centrale, à Mines Télécom et CCINP.
Mais je voulais l'armée. Ainsi j'ai passé les oraux des trois écoles d'officiers militaires. Et étant admis aux trois j'ai finalement choisi l'école spéciale militaire de Saint Cyr, où j'y apprendrai le métier d'officier, tout en n'abandonnant pas les sciences car je sortirai aussi avec un diplôme d'ingénieur.
Pour conclure, la prépa m'a surtout appris la rigueur et le travail régulier.
C'est une voie qui ouvre beaucoup de portes, ainsi n'hésitez pas!
Jean-Baptiste CHIGOT ( en classe prépa de 2021 à 2023)
Ecole intégrée: Saint Cyr
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Mes deux années en classe prépa au lycée Saint-Martin se sont passées à merveille.
Nous étions dans des classes de 20-25 étudiants à l'ambiance familiale et le corps enseignant était très bienveillant. Il a fait de gros efforts pour continuer à enseigner normalement malgré le confinement lié à la pandémie de covid-19. Toute cette ambiance tirait chaque étudiant vers le haut pour être bien prêt le jour des concours.
Pour ma part j'ai décroché une admission à l'ENSIBS de Vannes où j'étudie la cybersécurité et je suis ravie de ce cursus !
Camille BARBARIN ( en classe prépa de 2018 à 2020)
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Depuis que je suis toute petite, je veux être prof de math et tenter l’agrégation. Mais, alors, pourquoi aller en prépa? Tout simplement pour la formation. Je ne regrette d’ailleurs pas mon choix : ces deux années ont été très enrichissantes. Elles m’ont permis d’acquérir, en plus des notions complexes en mathématiques et en physique, une capacité de travail à suivre un rythme exigeant. Alors, j’aborderai sûrement plus sereinement les concours à venir et, en particulier,
celui de l’agrégation.
Aussi, détrompez-vous, la prépa n’est pas seulement faite pour les futurs ingénieurs! On était 3 sur 20 élèves dans la classe à vouloir nous diriger vers l’enseignement! Bon, pour être tout à fait honnête, les profs ont quand même essayé de me convaincre d’intégrer des écoles d’ingénieurs.
Mais, en vain, je sais ce que je veux et la formation proposée dans les écoles d’ingénieurs ne m’intéressait pas. C’est pourquoi, même si j’ai été admise à Centrale Lille, j’ai décidé de partir en L3 de math après la prépa et j’en suis ravie!
Mais revenons un peu en arrière! Je vais vous parler de mes années prépa…
Bien sûr, il ne faut pas croire que ce seront deux années faciles! Le rythme reste très soutenu. Et même si, quand j’étais en première année, je ne croyais pas mon parrain de deuxième année qui me disait que la deuxième année était bien plus dure que la première, en arrivant en deuxième
année, je dois bien avouer qu’il avait finalement raison! Après, je trouve la fin de la deuxième année plus intéressante puisque le rythme change, on n’a plus notre emploi du temps habituel : on est en révision pour les écrits, puis, on passe les écrits, ensuite, on retourne en cours pour préparer les oraux et, enfin, on passe les oraux!
Ce sont aussi deux années pendant lesquelles on est h24 avec les mêmes personnes et, quand on a une super ambiance de classe, c’est vraiment top! Déjà, dans les moments où le moral n’était pas trop au rendez-vous ou quand on se sentait submergé par la quantité de travail, on se disait “ne t’inquiète pas, on est tous dans la même galère” ! On se soutient entre nous et on se motive. Et, ce n’est pas parce qu’il faut beaucoup bosser que la bonne humeur et les projets sont interdits!
Durant ces deux années, on a créé des sweats de prépa, organisé une semaine ange gardien pour Noël, participé au “film” de présentation de la prépa, lancé l’association des anciens élèves… Je tiens aussi à dire que, si vous le pouvez, tâchez de vous investir à fond dans votre rôle de parrain/marraine. J’avais une très bonne relation avec mon parrain et mes deux filleules (on a d’ailleurs gardé contact) et c’est vraiment cool! C’est l’occasion d’échanger entre promos, de demander des conseils ou des infos à sa/son marraine/parrain…
J’espère que ce témoignage n’aura pas été trop long (enfin, si vous lisez cette phrase, c’est que vous avez réussi à le lire jusqu’au bout) et que vous l’aurez trouvé intéressant.
Manon BRANCHEREAU (en classe prépa de 2020 à 2022)
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C'est avec émotion que je me souviens de ces deux années de prépa passées au lycée St Martin de 2016 à 2018 (maintenant Institut St Benoît). Mon niveau de lycée était satisfaisant mais pas extraordinaire et ces deux années passées en MPSI et PSI ont été particulièrement difficiles. Je me souviens en première année des premiers DS et khôles avec des notes très faibles, ce qui peut se révéler très démoralisant. Mais être au sein d'une petite promotion et bénéficier du soutien de tous les professeurs encadrants m'a permis d'aller au bout de ces deux années et de m’accrocher au maximum. La décoration de la classe, le DM de noël de Physique avec M. Bore et son chapeau de noël, mon expérience en tant que délégué et responsable du planning des oraux et examens... Mon rêve étant d'intégrer l'école nationale de la météorologie, j'ai rapidement pris conscience que je n'en avais pas le niveau mais j'ai tout de même choisi d'intégrer l'EIGSI La Rochelle à l'issue de ces deux ans. Mes notes étant très faibles en prépa sont vites devenues un lointain souvenir en tant que major de promotion. J'ai finalement réussi à intégrer l'école Nationale de La Météorologie dans un parcours bi-diplômant et je suis aujourd'hui très heureux dans ce que je fais au quotidien en poursuivant même mes études en doctorat.
Si j'ai un conseil à donner à tous les "taupins", c'est de s'accrocher et de ne surtout pas hésiter à parler des difficultés avec les autres étudiants et les professeurs. Continuez de croire en vos rêves car même à l'issue d'une intégration dans une école, il y a toujours moyen de se raccrocher à ce que l'on aime.
Valentin COURQUIN ( en classe prépa de 2016 à 2018 )
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Pour être tout à fait honnête au début je ne voulais pas aller en prépa parce que ce n'était pas vraiment la voie conventionnelle pour faire professeur de mathématiques.
Mais aujourd'hui je ne le regrette pas. Avec les petits effectifs des classes, il est simple de comprendre, les professeurs sont à notre écoute, il y a une bonne ambiance même en période compliquée (examen, confinement…).
Certes on a une grande quantité de travail personnel (apprentissage des cours, leçons et DM) en rentrant chez soi, pendant 2 ans, mais ça en vaut le coup parce que les bagages que l'on acquiert, que ce soit au niveau des méthodes de travail ou au niveau des savoirs, nous resservent que l'on aille en école d'ingénieurs ou à la fac.
Aujourd'hui, je suis à la fac, en mathématiques, et ce que j'ai appris pendant mes 2 années de prépa me sert tous les jours, pour les cours (forcément pas la physique et la SII), les DM, ou les contrôles.
Donc pour résumé, aller à la prépa St Martin/St Benoît, c'est enrichissant aussi bien scolairement que socialement.
Camille BELLANGER ( en classe prépa de 2020 à 2022)